NOM: Shina
PRENOM: Melody
AGE: 19 ans
SURNOM: Peet
CAMP: Lumière
PHYSIQUE: Melody. Un nom harmonieux, tout comme son corps. Ses cheveux longs et fin lui arrivent au bas du dos. et ils sont noirs comme une nuit sans lune. Ses yeux verts-bleus, en formes d’amandes, font penser a des saphirs. On y plongerait volontiers des heures entières pour se délecter du spectacle, mi-triste, mi-curieux qu’ils nous offrent. Sa peau, blanche comme une pleine lune, fait ressortir ses joues rosée en temps normal. Ses lèvres fines et brunâtres, laisse souvent planer une moue de tristesse. Mais lorsqu’elle sourit, c’est comme un levé de soleil qui éclaire votre journée. Sa taille fine, et son corps, déjà celui d’une femme, lui permet de se glisser dans de jolies robes, en principe épaules dénudées. Quand à sa grandeur, elle est, ce que l’on appelle normale, pour son âge.
CARACTERE: Elle n’est pas de ses filles qui gloussent à la moindre petite blague des messieurs. Elle n’est pas de ses filles qui veulent absolument se faire remarquer par tous les males qui sont aux alentours. Elle ne fait non plus pas partie de ses garçon-manqués, pas comme les autres. Elle est simplement elle. Douce et gentille, tendre et drôle. Présente et absente quand il le faut. Elle ne va pas piquer une grande crise de colère contre quelque’un. Elle préféra évacuer sa colère en courrant. A noter que cette jeune femme tient difficilement en place. Elle doit toujours bouger. Il lui arrivera de s’isoler parfois juste pour être seule. A noter qu’elle semble connaître beaucoup de chose, elle est une surdouée. Elle est hyperactive et surdouée.
Qualités: Généreuse, gentille, ambitieuse, courageuse, téméraire, joviale, travailleuse
Défauts: Cynique parfois, il lui arrivera aussi d’être insolente, morbide, têtue.
Aime/aime pas: Elle aime la nature et la découverte. Elle aime le chant et la musique, elle aimait un homme, elle aime les animaux. Elle n’aime pas son père, elle n’aime pas les heures de cours interminables, elle n’aime pas, les gens qui pense tout savoir.
HISTOIRE: C’est d’une nuit sans lune où un enfant aux yeux de saphirs vint naître dans une famille où règne l’infamie. L’accouchement avait été provoqué par son père. Il voulait absolument que sa fille naisse lorsqu’il n’y avait aucune lune. La mère n’aurait jamais tenu un mois supplémentaire. Cette femme n’était qu’un jouet entre les mains de son père, il voulait juste avoir un enfant pour lui apprendre à devenir une bonne servante de l’ombre. La jeune Melody naquit et la mère fut tuée quelques heures après. Son père savait qu’elle avait un don, mais il ignorait encore lequel. Son entraînement commença dès son premier mois. Il tenta de faire d’elle une surdouée. Il y parvint et le bébé commença a parler et à marcher bien avant les autres. C’est à dire qu’a un mois et demi elle savait déjà se tenir debout et faire des vrais phrases. Lorsqu’elle eut atteint l’age de 5 ans, son père qui, jusqu’à présent était plutôt doux dans l’apprentissage de la jeune femme, commença à la battre a chaque erreur. Il ne poursuivait qu’un dessin, la faire devenir en colère. La colère naquit après deux ans de coups reçut. Elle haïssait son père, mais elle l’aimait toujours d’une certaine manière. Il était son maître et lui enseignait tant de choses. Se battre, sa cacher pour ne pas être repérée. Elle devenait un vrai petit robot prêt à tuer. A 10 ans son don se manifesta enfin. Alors qu’elle s’entraînait avec un crocodile, amener par les soins de son père, elle commença à lui parler. Le crocodile lui répondit et son père observait la scène très heureux. Elle pourrait alors convaincre, tout en leur parlant, les animaux de tuer. C’était merveilleux, hallucinant. Bien sur, son don n’était pas totalement parfait et elle faisait quelques bourdes, mais il suffisait de l’entraîner. Deux ans, elle passa deux ans avant de maîtriser parfaitement le langage de chaque animal et insecte. De la fourmi au lion, du chat à l’aigle, elle pouvait parler à tous. C’est ce moment que son père choisis pour lui ordonner une mission. Elle devait tuer un jeune garçon de deux ans son aîné. La manière qu’elle utiliserait lui appartiendrait. Ses mains ou l’aide des animaux c’était elle qui choisirait. Après 12 années enfermées dans les sous-sols de la maison familiale, en pleine nuit, la jeune Melody sortit pour mener sa mission à bien. En pleine nuit pour une simple et bonne raison, les rayon du soleil la ferrait souffrir. La maison de sa cible n’était pas loin et elle avait décidé de le tuer à main nue. Sans l’aide de personne. Elle avait, sans mal, escaladé la façade puis c’était glissé dans la chambre du jeune homme. Il n’était pas encore là et elle s’était caché sur son armoire en l’attendant. Lorsqu’il entra dans sa chambre, elle observa d’abord son ennemi. Il faut toujours observer avant d’attaquer.
Lui, il était blond aux yeux bruns. Il était grand et semblait musclé. Nettement plus que la jeune Melody. Mais elle ne baissa pas les bras et, après une demie-heure d’observation, elle lui sauta dessus. La lutte fut acharnée et la jeune Melody perdit du sang. Il n’arrivait pas à appeler à l’aide car, comme on lui l’avait appris, Melody lui avait bouché la bouche. Mais lorsqu’elle se retrouva sur lui, ses mains autour de son cou, prête à le tuer, il la regarda dans les yeux. Une sorte d’imploration de dernière chance. Son étreinte se resserrait d’abord autour du coup de sa victime mais, lorsqu’il perdit connaissance, elle se souvint de son regard. Ses mains le lâchèrent et elle prit la fuite. Juste avant de le laisser, elle appela son chien et lui dit d’aboyer devant la chambre de son maître, sinon il le perdrait. Le chien le fit et le jeune fut découvert par ses parents.
« Tu as… ECHOUE
-Pardonnez moi Maître.
-Un Maître ne pardonne jamais, il constate. Et je constate que tu es encore trop faible. »
Melody était attachée dans le sous-sols, sur une chaise. Son père, qu’elle appelait Maître était en face d’elle.
« Te souviens-tu m’avoir demandé quel était mon don? Je t’avais dit que tu le découvrirait un jour. Et bien ce jour est arrivé. Crois moi, tu n’auras plus jamais envie d’échouer après ça. »
Il la fixait et Melody vit, avec effroi sa main se couvrire de coupure qui s’agrandissaient qui s’élargissaient. Puis le reste de son corps subit le même traitement. La douleur devenait insupportable et la jeune enfant commença à hurler. Lorsqu’il eut marre de l’entendre crier, il cessa son traitement. La détacha et la laissa son corps couverts de plaies dans cette petite pièce fermée à clé. Elle y resta une, deux heures, peut-être une semaine, elle l’ignorait. Mais de tout son corps irradiait une douleur insoutenable. Son père revint dans la pièce, lui annonçant qu’ils lui laissaient une seconde chance de tuer ce jeune homme. Et que, si elle échouait, la douleur qu’elle venait de subir ne serrait rien comparé à ce qu’elle allait subir.
Elle ressortit la nuit et, cette fois, elle partit avec un tigre. Elle remonta la paroi et hissa le tigre lorsqu’elle fut en haut. Ils se cachèrent derrière la porte et ils attendirent. Chose étonnante, au bout d’une minute le tigre s’endormit. Le jeune homme rentra juste après, et, cette fois ce fut lui qui prit le dessus sur Melody.
« Je savais que tu étais là. J’ai juste endormit ton tigre, il ne va pas mourir. »
Il n’avait pas encore vu le corps recouvert de plaies de la jeune fille. Mais, alors qu’elle grimaça, il remarqua que les mains qu’il tenait étaient couvertes de sangs et de plaies.
« Bon sang t’es de l’ombre hein c’est ça? »
Elle ne répondit rien.
« Non tu l’es pas encore. T’as pas réussit à me tuer la première fois, ça veut dire que tu l’es pas. C’est pour ça que tu as ces blessures? Ils t’ont puni? »
Elle ne dit toujours mots et il l’attacha, avec grande peine. Lorsqu’elle ne pouvait plus bouger il la regarda.
« Pas grave j’ai tout mon temps. Mais je suis prêt à parier que tu ne supportes pas les rayons du soleil. Cela dit, moi oui et j’aime bien laisser mes rideaux ouverts pour que chaque parcelles de ma chambre soit éclairée. Alors si tu veux pas subir ça, réponds à mes questions. »
Elle le regardait avec rage. Mais ce regard la transperçait.
« Fais moi signe quand tu es prête… »
Il s’assit simplement sur son lit et attendit. Les heures s’égrenaient doucement et elle se résigna à parler.
« -Pose les moi tes questions.
-Bien tu deviens raisonnable. Tu t’appelles comment?
-Melody.
-Moi c’est Jérôme, enchanté. C’est ton père qui t’a forcé à venir me tuer?
-C’est mon Maître qui m’a donné cette mission.
-Ah oui j’oubliais du coté de l’ombre les parents n’existent pas, ils sont des Maîtres. Bon et c’est aussi lui qui t’a infligé ces blessures?
-T’es perspicace.
-Et toi une vraie langue de vipère. Tu veux que je te laisse partir, tu veux, a nouveau, subir ça? Hein, c’est ça que tu veux? … Pas de réponse. Tu vois, c’est peut-être ton, entre-guillemet, Maître, il n’a pas le droit de te faire ça.
-Il a tout les droits sur moi.
-Ma parole, ils t’ont déjà bien formée dis moi. C’est vrai que tu te bats comme une tigresse, et ton cerveau leur appartient déjà. Mais t’as quel âge 10 ans, 13 ans tout au plus. C’est pas encore irrécupérable. Laisse moi t’aider.
-Je n’ai besoin de l’aide de personne. Laisse moi partir.
-Pour qu’il te tue, jamais. Je ne suis pas fou. T’as essayé de me tuer mais tu m’as laissé la vie sauve. Si t’avais pas demandé à moi chien d’aboyer on m’aurait jamais trouvé en plus. Je te dois la vie, laisse moi te rendre ce service.
-Le seul service que tu pourrais me rendre serait de me libérer.
-Je crois qu’un peu de repos te ferrait du bien.
Et c’est ainsi que, sur ces bonnes paroles, Melody s’endormit. Jérôme prit soin de la mettre à l’abri du soleil qui allait se lever dans quelques minutes et il descendit vers ses parents. D’un comme un accord ils décidèrent que Melody ne repartirait pas et qu’ils la défendrait. Ils réussirent même à la faire passer pour morte afin que son père ne vienne pas la chercher.
Elle se réveilla une semaine après, il l’avait faite dormir tout ce temps pour qu’elle se calme. Elle fut, en effet, calmée à son réveil, bien que toujours insolente.
« -Ca t’amuse? Et alors, maintenant je suis quoi, ton pantin, ton esclave? Tu m’as fait passer pour morte donc tu peux me laisser partir.
-Tu me prends pour un imbécile tu vas le rejoindre si je fais ça. Écoute, je vais te détacher doucement. Si tu tente de t’enfuire, je t’endors c’est claire?
-Oui mon général!
-Arrête tes sarcasmes.
Il la détacha. A peine détachée, elle se jeta sur lui. Il la fit se fatiguer juste un petit peu, juste ce qu’il fallait pour qu’elle se retrouve sous lui et sans pouvoir bouger.
« -J’ai bien une idée pour te calmer, espérons que ça marche.
-La seule chose qui me calmerait serrait que tu me laisse pa… »
Elle ne put finir sa phrase car il était en train de l’embrasser. Tout ses muscles se détractèrent et elle savoura ce baiser. Elle savoura l’amour tout simplement. Lorsque le baiser fut finit, son visage même s’était radoucit.
« -Tu disais?
-Encore. »
Et il l’embrassa encore et encore. Elle était devenue, ce que l’on appelle, sa petite amie. Elle vivait maintenant chez les Shina et, par amour, son esprit se changea. Elle qui avait été prête à tuer pour l’ombre devenait une vraie fervente de la lumière. Elle supportait même, plus ou moins, le soleil maintenant.
Jérôme alla à l’école et elle l’y accompagna. Les directeurs furent mis au courrant qu’elle avait été de l’ombre et que, à tout moment, elle risquait d’y replonger. Son esprit avait changé mais son passé pouvait ressurgir à tout instant. Il y allèrent pendant plusieurs années. Elle se révéla studieuse mais turbulente et toujours insolente. Alors que ça faisait 7 ans qu’ils étaient ensemble, alors qu’elle venait d’être, majeur, Jérôme la demanda en mariage. Il était sur qu’elle accepterait c’est pourquoi il avait déjà tout mis en oeuvre pour leur mariage qui eut lieu le lendemain. Elle n’avait eut qu’une journée pour trouver une robe de mariée mais elle y parvint.
Elle devint alors une Shina et la nuit de noce fut des plus appréciables. Elle l’ignorait mais cette nuit là elle tomba enceinte. Ils retournèrent tout deux à l’école. Jérôme était en constante surveillance envers sa femme, pour le simple fait qu’il craignait toujours que la doctrine de sa plus petite enfance ne refasse surface.
La doctrine ne refit pas surface mais, il y quelques jours à peine, son père oui. Il avait remarqué sa fille et l’avait reconnue dans cette école. Il attendit que, tous deux, partirent quelques heures de l’école et il mit à mort Jérôme.
« -Tu as trahit ton Maître, tel est ta punition…. » Son père partit avant qu’elle n’ait put réagir.
-Non…. Mon amour, me laisse pas. Sans toi j’aurai pas la force. Mon amour, je.. J’attends notre enfant. Je te vengerai mais me laisse pas.
-Chuuut ma belle occupe toi de notre enfant mais ne me venge pas. Reste aussi douce et gentil que tu l’es. Ne…
Et il mourut. Le choc fut si violent que son enfant vint au monde prématurément. Elle pleura toute une semaine avant de retourner à l’école. Son fils, Jémo, est resté sous la protection de ses grands-parents. Elle nourrit, dès lors, une haine tel en son père, que, à tout moment, elle peut redevenir la jeune fille qu’elle était au début. Elle lutte contre elle-même pour Jérôme.
VOTRE DON: Elle peut parler aux animaux. A n’importe quel animal et les comprendre. Récemment, en ce moment, elle se rend compte qu’elle commence à pouvoir leur parler par simple pensée et ils leur répondent de la même façon. Mais elle doit vraiment se concentrer pour que ça marche. Bientôt il lui suffira de les regarder dans les yeux et de faire un geste pour que l’animal face si ou ça. Mais elle est à l’école pour atteindre cette perfection là.
Autre: Si elle en a le droit, elle aimerait son chat avec elle dans l'école.
HORS RP:Comment avez-vous découvert le forum? Euh je sais plus. Tiens je sens que quelqu’un va me rafraîchir la mémoire.
Comment le trouvez-vous? Atroce, on m’a obligé à m’y inscrire, mamaaaan vient m’aider. Meuh non je le trouve très bien
S’il y en a quels défauts faudrait-il changer? Sans doute mais là j’ai pas d’idées. Il faut juste savoir que la perfection n’existe pas.
Age: 19 ans (oui je suis vieille)